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Enfin d’autres détails confirment qu’il s’agit bien de la rue Négrel : l’indicateur marseillais de 1943 indique qu’il y avait une coiffeuse au n°13 et dans un précédent indicateur un magasin d’occasions au n°25, enseigne qui est restée. Pour les curieux qui pourraient se poser la question : il ne manque pas des numéros entre le numéo 13 et le 25 ? Réponse : la numérotation continue dans l’impasse Négrel ! On est ici en haut de la rue Négrel, mais dans la liste des boutiques on a un marchand de vin au numéro 10, alors qu’au numéro 18, le dernier de la rue, on a un épicier et un cordonnier ! Soit le marchand de vin a déménagé, mais le mot VINS est resté, soit l’épicier vendait aussi du vin ?
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